English: I am now less than 24 hours away from finally departing to Tibet, after what will have been nearly one year spent in Nepal. Leaving on the summer solstice day is something truly meaningful and significant to me, since the dates of the trip were randomly set in advance by the travel agency. Over the last few weeks, my extended stay in Kathmandu was due to the fact of needing more peace and quiet to fully rest after my 2 treks amidst the Nepali Himalayas, as well as to properly organize my upcoming journey. As always, I will have very little money and no bank account to make it to Alaska this year, but we never know what mesmerizing magic that will come to me when I will start embracing the unexpectedness of the Road again. However, thanks to my future Couchsurfing hosts, my camping gear and hitch-hiking, it will mostly be about dealing with the administrative issues along the way, in financial terms. Of course I am going to miss Nepal, and more than keeping a few people in my heart, the things I am truly going to “miss” are part of the randomness related to the Hindu culture, which I will have experienced for one year and a half in both India and Nepal. First of all, there has been the ancestral “Namaste” salute along with all its significance: "I honor the place in you where Spirit lives I honor the place in you which is Of Love, of Truth, of Light, of Peace, When you are in that place in you, And I am in that place in me, Then we are One." Then, it is all about what one can see on the street on a daily basis, in these very situations where she/he might ask him/herself: “What the hell?”, even though it is no longer very surprising afterwards, such as: • The tin-box-style cabs in which you feel like the whole chassis is going to fall apart. • The local tuk-tuks or “microbuses” in which the driver and his assistant manage to fit 20 people where they are 8 or 9 seats at the most. • Cycling in the dusty streets and enduring the massive pot-holes everyday and everywhere. • The street cows walking and grazing randomly in the city, even though there are much fewer than in India. • People walking a goat instead of a dog. • People making random fires on the streets (especially in winter), and sometimes cooking as well • Eagles gliding and swooping over the city instead of seagulls (there are also crows and pigeons in Kathmandu). • A large number of Nepali people wearing “I love Nepal” T-shirts. • Stuffing myself with fresh mangoes and organic cheese (that is something I am truly going to miss though). • The magnificence of the temples, from the biggest and most renowned such as Swayanbur, Pashupatinath and Baudhanath, to the smallest and cutest ones that one can see everywhere on the tiny streets. • Pedestrians who cross the streets without ever looking at the cars coming. • Monkeys everywhere in the city and even sometimes stealing your stuff in the kitchen. This list is non-exhaustive. I have also got involved in a quite new and unexpected discipline; the poi (you know, the two balls attached to strings that are rotated to create fascinating figures). In fact, I had known the activity since 2002 and my first backpack trip in Thailand (I had already been into juggling during High School), I explored it much more when I was living in Australia (the biggest highlight being when I played the fire poi with my friends Ian and Tess alone on Cable Beach during New Year’s night 2007) but was then left on the backburner for a few years, until I bought some in Manali (India)…last year. However, even though I have tried at some point to remember some of the basics since then, I have never passionately got into it until…last week. I have practised about two hours a day for about a week in order to get some sun and fresh air in between long hours of writing, and I think that I have shown more progress in one week than in the seven years before. Also, what I truly appreciate with the poi is that the rotations are a form of sacred geometry through the motion of the whole body that marries the curves and loops of the balls. It is all about liberating the body and going with the flow of the spirals. Thanks to modern day’s technology, I have managed to download a consequent amount of tutorials from the Internet and I am looking forward to getting more practice amidst of the stunning landscapes I am going to explore on my way. I am now looking forward to being on the Road again, and whatever happens and wherever I end up next winter, I should remain on the move for at least 3 to 4 months. However, who knows if I will finally be staying somewhere during the cold Arctic winter or keep on travelling by minus 50 or 60 degrees Celsius. Any experience shall be absolutely stunning for what IS anyway. Thank you for your moral support, I will definitely need as much positive energy as possible to make it to the Far East and Alaska. Stay tuned! Francais: (Par avance, veuillez m’excuser pour les fautes d’accents et de cedilles mais je n’ai pas un clavier francais. De ce fait, le mieux que je puisse faire en termes de timing est d’utiliser Google Translate a certains points)
Je suis maintenant moins de 24 heures de finalement reprendre mon periple et partir au Tibet, après ce qui aura été près d'une annee passé au Népal. M’evader le jour du solstice d'été est quelque chose de vraiment significatif et important pour moi, étant donné que les dates du periple ont été fixées de façon aléatoire à l'avance par l'agence de Voyage. Au cours des dernières semaines, mon séjour prolongé à Katmandou était dû au fait d'avoir besoin de plus de paix et de calme pour se reposer pleinement après mes deux randonnées au milieu de l'Himalaya népalais, ainsi que pour organiser correctement mon prochain voyage. Comme toujours, je vais avoir très peu d'argent et pas de compte bancaire pour me rendre en Alaska cette année, mais on ne sait jamais quelle sera la magie envoûtante qui viendra à moi quand je serai a nouveau replonge dans l'Inattendu de la Route. Cependant, grâce à mes futurs hôtes Couchsurfing, mon matériel de camping et l'auto-stop, le seul reel probleme se passera au niveau des visas et des frontieres comme d’habitude. Bien sûr, le Népal va me manquer, et plus que de garder quelques personnes dans mon cœur, les choses qui vont vraiment me "manquer" font partie de l'aspect aléatoire lié à la culture hindoue, que j’ai eu la chance d’expérimenter pendant un an et demi en Inde et au Népal. Tout d'abord, il y a le salut ancestrale "Namaste" avec toute sa signification: I honor the place in you where Spirit lives I honor the place in you which is Of Love, of Truth, of Light, of Peace, When you are in that place in you, And I am in that place in me, Then we are One." Ensuite, il y a tout ce que l'on peut voir dans la rue au quotidien, dans ces situations où l’on se peut demander: «Pourquoi se passe-t-il cela?», même si cela n'est plus si surprenant par la suite: • Les taxis « boite de conserve » dans lesquels vous sentez que le châssis va s'écrouler. • Les tuk-tuks locaux ou «microbus» dans lequels le conducteur et son assistant arrivent rentrer 20 personnes là où il y a 8 ou 9 places tout au plus. • Faire du vélo dans les rues poussiéreuses et pleines de nids de poule enormes. • Les vaches dans les rues, même si il y en a beaucoup moins qu'en Inde. • Les personnes ayant une chèvre au bout de leur laisse au lieu d'un chien. • Les gens qui font du feu de manière aléatoire dans les rues (surtout en hiver), et parfois la cuisine aussi. • Les aigles planant au-dessus de la ville à la place de mouettes (mais il y a aussi des corbeaux et des pigeons à Katmandou). • Un grand nombre de népalais portant un T.shirt "J'aime le Népal ». • Me gaver de mangues fraîches et de fromage bio (c'est quelque chose qui va vraiment me manquer). • La magnificence des temples, des plus grands et renommés, tels que Swayanbur, Pashupatinath et Baudhanath, à ceux plus petits et plus charmants que l'on peut voir partout dans les petites rues. • Les piétons qui traversent les rues sans jamais regarder les voitures qui arrivent en face. • Les singes qui circulent partout dans la ville et même parfois qui volent votre nourriture dans la cuisine. Cette liste est non exhaustive bien entendu. J'ai aussi commencé à m’investir dans une discipline « nouvelle »; le poi (vous savez, les deux boules attachées à des cordes que l’on tourne pour créer des figures fascinantes). En fait, j'avais connu l'activité en 2002 et mon premier voyage sac à dos en Thaïlande (je jonglais déjà au lycée), et je l'ai explorée beaucoup plus quand je vivais en Australie (le point culminant étant quand j’ai fait du poi en feu avec mes amis Ian et Tess, seuls sur Cable Beach pendant la nuit du Nouvel An 2007), mais fut ensuite laissée en veilleuse pendant quelques années, jusqu'à ce que j’en acheta à Manali (Inde) ... l'année dernière. Cependant, même si j'ai essayé par moments de me rappeler certains principes de base depuis lors, je n'ai jamais eu de réelle occasion de pratiquer correctement jusqu’à ... la semaine dernière. J'ai pratiqué environ deux heures par jour depuis une semaine afin de prendre un peu de soleil et d'air frais entre de longues heures d’écriture, et je pense que j’ai fait plus de progrès en une semaine que pendant les sept années précédentes. Aussi, ce que j'apprécie vraiment avec le poi, c'est que les rotations créent une forme de géométrie sacrée de par le mouvement de l'ensemble du corps qui épouse les courbes et les boucles des balles. Il s'agit de libérer le corps et de se laisser aller avec le courant des spirales. Grace à la technologie moderne, j'ai réussi à télécharger une quantité conséquente de tutoriels sur Internet, et je suis impatient de plus pratiquer au milieu des paysages magnifiques que je vais bientôt explorer sur mon chemin. Je suis maintenant impatient d'être sur la route à nouveau, et quoi qu'il arrive et où je finisse l'hiver prochain, j’y resterai pendant au moins 3 à 4 mois. Cependant, qui sait si je vais rester quelque part pendant l'hiver arctique ou continuer à voyager par moins 50 ou 60 degrés Celsius. Toute expérience est absolument magnifique pour ce qu’elle EST de toute façon. Merci pour votre soutien moral, je vais certainement avoir besoin d'autant d'énergie positive que possible pour poursuivre mon périple et me rendre en Extrême-Orient et en Alaska. A bientôt!
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Nicolas GennaJourney around the world overland since 2012. Categories
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